Commande photo

 

Anne Leroy, Lydie Palaric, Marina Tolstoukhine, Maxime Couturier

Marina Tolstoukhine

Marina Tolstoukhine – Commande photographique 2016

Depuis sa première édition en 2010, panOramas confie le parc des Coteaux au regard artistique de photographes.

Pour chaque édition, 4 d’entre eux s’emparent des 400 hectares déroulés sur 4 villes pour en livrer 4 vues chacun. Ainsi, chaque année ces 16 regards sur le parc des coteaux révèlent usages, points de vue et patrimoine paysager.
panOramas s’attache à confier à un(e) jeune photographe sa première commande et participe à l’émergence des talents locaux.

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Lydie Palaric – Commande photographique 2016

16 points de vue artistiques sur le parc des Coteaux

 

La collection ainsi constituée sert la valorisation du territoire, une sélection de vues des parcs de Bassens, Cenon, Floirac et Lormont s’affichera en septembre sur les façades du Quartier Général.

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Maxime Couturier – Commande photographique 2016

En 2016, la commande photographique a été confiée à Anne Leroy, Lydie Palaric, Marina Tolstoukhine et Maxime Couturier.

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Anne Leroy – Commande photographique 2016

Leurs travaux enrichiront la collection amorcée avec Anne-Laure Boyer, Edouard Decam, Bruno Ferdinand, Pascal Fellonneau en 2010, et Ugo Amez, Damien Auzet, Gary Lafitte et Florent Larronde en 2012 et Léa Bolze, Rodolphe Escher, Christophe Goussard et Günther Vincente en 2014.

Commande photo par

Anne Leroy

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Après ses études à l’ENS Louis Lumière, Anne Leroy a voyagé pendant une année à travers les Balkans, la Turquie, le Caucase, l’Iran, l’Asie Centrale et enfin, l’Inde. A son retour, elle s’installe à Bordeaux.
Aujourd’hui, en parallèle de commandes institutionnelles et pour la presse (Causette, IDEAT, Bordeaux Métropole), elle réalise des travaux documentaires en France et à l’étranger.

Sa démarche photographique interroge les hommes et les territoires. Ses supports sont les espaces qu’ils investissent, s’approprient et abandonnent. Ce travail aborde aussi l’identité et la mémoire au travers des histoires individuelles et collectives.

Anne Leroy expose dans des festivals et des galeries (festival les Rencontres d’Arles, festival Itinéraires des photographes voyageurs à Bordeaux, galerie du Pilori à Niort, galerie du Carré Amelot à La Rochelle).
Son travail est présenté par Picturetank.

Lydie Palaric

Lydie-Palaric

Lydie Palaric est née à Bruges (33) en 1986, elle vit et travaille en Aquitaine.

Après ses études à l’Ecole des Beaux Arts de Bordeaux elle continue de développer son travail plastique tout en devenant chargée de projet pour La Forêt d’Art Contemporain.

Artiste plasticienne, elle s’intéresse plus aux théories photographiques, qu’elle enseigne en pratique libre à l’Ecole des Beaux Arts de Bordeaux, plutôt qu’à sa technique.

Bien que principalament photographique son travail se développe autour de divers médium, tel que la vidéo, le dessin et l’installation, se confrontant à la question de l’espace et de son potentiel énigmatique elle porte le regard au delà des apparences restant attentive aux possibilités offertes par les sujets les plus ordinaires pour déchiffrer nos comportements et nos façons de vivre.

Marina Tolstoukhine

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Marina Tolstoukhine est diplômée de l’ENSP Arles.
Née en 1982 au Canada, elle vit actuellement à Bordeaux. Après plusieurs années à exercer en tant que documentaliste, elle est depuis peu photographe indépendante.
Son travail porte sur les liens qu’entretiennent nos subjectivités au monde extérieur. Elle utilise le point de vue photographique pour explorer les projections et diffractions des émotions sur les choses. Ses images cherchent à représenter une porosité entre l’ordinaire et le fantastique.

Maxime Couturier

Auto-portrait

Maxime Couturier est né en 1983 et débute comme photographe indépendant en 2010.
Après un diplôme en design graphique à l’Institut d’Arts Visuels d’Orléans, c’est au détour d’une période de transition que la photographie lui barre la route et provoque la rupture salutaire pour regarder le monde autrement. D’itinérances personnelles en recherches visuelles, il fait valoir ses convictions intimes en se tournant vers l’image à caractère social et le reportage. La série Tziganie Arena (2011) sera le point de départ d’une photographie plus subjective qui, en contournant son sujet pour le raconter de manière sensible, donne à l’auteur la responsabilité de choix esthétiques et au spectateur celle d’y déployer son imaginaire. Depuis, il se laisse volontiers influencer par ceux qui osent l’expérimentation des formes pour témoigner du réel.

Aujourd’hui il développe une approche ouverte, plurielle, et résolument vivante de la photographie, considérant que ses travaux empruntent des démarches parfois documentaires, parfois plasticiennes, ou le plus souvent les deux. Il travaille en reportage comme en portrait, imagine des mises en scènes ou des objets, et collabore avec des comédiens et des écrivains.

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