Rodolphe Escher

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« D’abord il y eu l’arrière-boutique du photographe de mon quartier, le labo noir et blanc installé dans ma chambre, les émotions fortes ressenties devant les photos des autres. Puis j’ai commencé en 1992 à gagner ma vie comme photojournaliste. Indépendant depuis le premier jour, je travaille exclusivement sur commande pour une trentaine de journaux et clients privés. Dans tous ces univers différents, c’est la même recherche. Celle du point de décalage, le point de surprise. Celui à partir duquel on prend du plaisir ».